Libellés
- Formation professionnelle et insertion
- L’émergence de l’orientation
- L’enseignement spécialisé
- La démocratisation scolaire
- La médecine scolaire
- La médicalisation de l'école
- La mesure de l'élève
- La notion d'échec scolaire
- La psychologie scolaire
- La recomposition du champ de l’orientation
- Orientation et démocratisation
16 décembre 2014
3 décembre 2014
Cours n° 7 - Psychologie et psychologues dans l'institution scolaire
1. Alfred Binet: le précurseur
Alfred Binet (1857-1911) |
« Un exposé complet de l'enseignement comprend trois subdivisions : ce qu'on enseigne — ce sont les programmes ; comment on enseigne — ce sont les méthodes ; qui on enseigne — ce sont les enfants » Alfred Binet, Les idées modernes sur les enfants, 1909, p. 7
29 novembre 2014
Comment lutter contre l'échec scolaire ?
L'Histoire magazine, 06/12/2013 par Antoine Prost
La qualité de la formation des maîtres, la composition des classes et … le travail sont décisifs.
Comment définir l'échec scolaire? Pris globalement, par grandes masses, l'échec scolaire est celui des élèves qui sortent de l'école sans qualification aucune. En ce sens, l'échec scolaire diminue : aujourd'hui, 70000 jeunes environ sortent du système scolaire sans qualification, contre 120000 en 1985.
25 novembre 2014
Coursn° 5 - La recomposition du champ de l’orientation : un révélateur des évolutions récentes du système scolaire
A- De l’orientation à l’éducation à l’orientation
1. Émergence des approches éducatives de l'orientation
18 novembre 2014
Cours n° 4 - Orienter pour démocratiser
Doc. 1 : Orienter par les aptitudes (plan Langevin-Wallon,1947)
« La mise en valeur des aptitudes individuelles en vue d’une utilisation plus exacte des compétences pose le principe de l’orientation. Orientation scolaire d’abord, puis orientation professionnelle doivent aboutir à mettre chaque travailleur, chaque citoyen au poste le mieux adapté à ses possibilités, le plus favorable à son rendement. À la sélection actuelle qui aboutit à détourner les plus doués de professions où ils pourraient rendre d’éminents services, doit se substituer un classement des travailleurs, fondé à la fois sur les aptitudes individuelles et les besoins sociaux. »
4 novembre 2014
Cours n° 3 - Entre l'école et le marché du travail, l'émergence de l'orientation (1919-1940)
Doc. 1: La formation professionnelle : et si on en parlait… autrement ? – la Fabrique de l’industrie, 23 septembre 2013
21 octobre 2014
18 octobre 2014
Une analyse de la situation de la médecine scolaire en 2011
Rapport d'information déposé par le comité d'évaluation et de contrôle des politiques publiques sur la médecine scolaire, GAUDRON Gérard, PINVILLE Martine, Assemblée nationale, novembre 2011.
Depuis sa fondation en 1945, la médecine scolaire a traversé plusieurs crises. Idée généreuse autant que républicaine, la médecine scolaire, initiée dans le contexte de redressement national qui a marqué l’après-guerre, s’est trouvée à plusieurs reprises confrontée à une pénurie de moyens, conduisant à s’interroger sur le sens profond de ses missions, qui sont nombreuses, et sur les attentes de la société à son égard. […]
Pour les députés, la médecine scolaire est née en 1945.
Cette création s'est inscrite dans le cadre de la reconstruction. Elle revêt alors une forte dimension politique.
14 octobre 2014
Cours n° 1 - La mesure de l’élève: fonctions et usages des statistiques (XIXe-XXe sièce)
L’édito éco, Dominique Seux, mardi
3 septembre 2013, France Inter
Rentrée des classes : trois idées
reçues
Ce matin, c’est donc la rentrée des
classes. Vous puisez aux meilleures sources statistiques pour planter
le décor.
Oui, on va évoquer quelques idées
reçues, vraies ou fausses. Bien sûr, il est tentant de se méfier
des chiffres parce qu’on leur fait une chose et son contraire,
parce qu’ils sont la forme la plus élaborée du mensonge (comme
l’a dit Churchill) mais en prenant des sources fiables, celles de
l’OCDE, on peut avancer quelques points incontestables.
Première idée reçue : on dépense
plus d’argent en France qu’ailleurs pour l’éducation, pour des
résultats très moyens.
21 juillet 2014
L'hygiène scolaire: un exemple de traité
À partir de la seconde moitié du XIXe siècle, la question de l’hygiène intéresse de plus en plus la société française. Ensemble, les progrès de la médecine, l’émergence de courants hygiénistes et la mise en place de politiques de santé publique concernant aussi bien l’urbanisme que les soins ou la prévention la placent en effet de plus en plus au cœur des préoccupations et des représentations. Avec la IIIe République et la forte émergence de courants hygiénistes à la fin du siècle, les pouvoirs publics soucieux d’assurer le bien-être des citoyens développent sur tout le territoire des mesures concrètes et des campagnes de prévention d’une importance jusque-là inégalée. L'école primaire est à la fois un objectif majeur: il s'agit tout à la fois de protéger la santé des enfants et d’éduquer les parents.
Plessis-Robinson : Le dispensaire municipal, 1932
28 juillet 1932 : les Robinsonnais sont invités par voie d’affiche à l’inauguration du nouveau « dispensaire laïque et communal » dont la vocation est d’être un « centre d’hygiène maternelle et infantile » sous le patronage de l’Association d’hygiène scolaire et familiale.
Binet, la psychologie et l'école
LA PSYCHOLOGIE A L'ÉCOLE PRIMAIRE
Dans nos précédentes Années, nous avons attiré l'attention sur l'importance pratique de la psychologie individuelle ; nous avons exposé son but et son caractère ; nous avons donné quelques exemples de ses tests . Nous complétons maintenant ces premières données en exposant tout un ensemble de recherches sur l'individu physiologique.
Cours n° 6 - La construction de la notion d'échec scolaire (XIXe-XXe siècles)
Le psychologue scolaire vu par le dessinateur Zac Deloupy
Né en 1968 à Saint-Etienne ,Zac Deloupy est diplômé des Beaux-Arts d'Angoulême, section bande dessinée. Il travaille comme illustrateur indépendant pour la publicité tout en publiant, depuis 2002, pour l'édition jeunesse.
La statistique scolaire dans le Dictionnaire Buisson
On a donné beaucoup de définitions de la statistique ; la meilleure nous parait être la suivante : La statistique est l'étude numérique des faits sociaux, quoiqu'on puisse objecter que les recherches de la statistique s'appliquent non seulement à des faits sociaux, mais aussi à des phénomènes d'ordre purement naturel, et que tout dénombrement, toute recherche consistant à compter le nombre de fois que se produit un fait quelconque, ou que l'observateur le constate, est en réalité de la statistique. Dans son acception la plus étendue, la statistique se confondrait ainsi à peu près avec les tables de présence et d'absence que Bacon recommandait pour l'étude des sciences d'observation, et elle serait un instrument nécessaire aux sciences naturelles aussi bien qu'aux sciences sociales. Cependant les premières emploient des procédés de recherche et, dans certains cas, des procédés d'expérimentation qui les distinguent tout à fait des méthodes propres aux sciences sociales, et il est préférable, dans l'intérêt de la clarté du langage, de réserver le nom de statistique aux recueils de nombres relatifs aux faits sociaux et à l'étude de ces nombres.
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